Az államforma fogalmáról = A propos de la notion de la forme d'etat

Péteri, Zoltán (1961) Az államforma fogalmáról = A propos de la notion de la forme d'etat. AZ ÁLLAM- ÉS JOGTUDOMÁNYI INTÉZET ÉRTESÍTŐJE, 4. (3). pp. 291-322.

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Abstract

L’auteur considère le problème de la définition de la forme d’Etat, comme une des questions de détail du problème général de la forme d’Etat. En effet, le problème de la forme d’Etat joue un rôle très important à la fois dans l’histoire des luttes des classes et dans celle des doctrines politiques. Sur la base d’une analyse des questions préalables méthodologiques du problème, l’auteur arrive à la conclusion, qu’en ce qui concerne la théorie socialiste de l’Etat et du droit, la notion de la forme d’Etat n’est utilisable qu’au cas seulement, où elle est définie moyennant d’une généralisation théorique de la réalité sociale et à l’aide de l'application des catégories de la philosophie marxiste. C’est en s’approchant de l’essence de l’Etat du côté des phénomènes étatiques qu’on arrive à la notion de la forme d’Etat. L’essence de l’Etat, en tant que contenu, apparaît dans les Etats particuliers. La notion du type d’Etat de la théorie socialiste de l’Etat et du droit exprime le contenu d’un Etat donné, tandis que celle de la forme d’Etat est une image de la forme extérieure de l’Etat, réfléchie dans la pensée. La connexité entre type d’Etat et forme d’Etat et la connexité qui existe entre le contenu et la forme, permet de résoudre les problèmes scientifiques relatifs à la conditionnalité, aux différences et les changements des formes d’Etat. Après un bref aperçu de l’historique de la notion de la forme d’Etat, l’auteur s’occupe de cette notion telle qu’elle se présente dans la doctrine socialiste de l’Etat et du droit. L’auteur s’oppose à des interprétations «plus étroite» et «plus large» de la notion de la forme d’Etat et, par ceci, à un dédoublement inutile de cette notion, puis il essaye de donner une définition générale à la forme d’Etat. De l’analyse des thèses opposées, il arrive à la conclusion que la définition de la forme d’Etat comme l’ensemble des institutions politiques destinées à la réalisation de lia direction de l'Etat, comprend un renvoi à la fois à la structure organique des pouvoirs de l’Etat et aux méthodes de son fonctionnement. Pour finir, l’étude s’occupe des composants de la forme d'Etat, comme problème spécifiquement caractéristique de la théorie socialiste de l’Etat et du droit. Contrairement aux théories bourgeoises de l’Etat qui considèrent la forme d’Etat connue une critère de division seulement, l’auteur adopte la thèse selon laquelle les composants de la forme d’Etat sont des institutions politiques qui en conséquence de leur nature de superstructure agissent activement les unes sur les autres et sur leur base aussi et ont un rôle important dans la formation consciente de la réalité. Au cours de ses recherches relatives aux composants de la forme d’Etat, l’auteur examine les institutions de nature à la fois juridique et politique, dont la «forme» se compose qui constitue l’essence de l’Etat, c’est-à-dire le côté organique de l’Etat. Parmi ces institutions une importance particulière revient, d’une part, au système des organes exerçant le pouvoir suprême de l’Etat et à leurs relations réciproques (forme du gouvernement) et, d’autre part, à l’ensemble des institutions attachées à l'organisation territoriale de l’Etat (organisation étatique). Le régime politique est considéré par l'auteur non comme un élément constitutif séparé de la forme d’Etat, mais seulement comme l’ensemble des méthodes et des principes qui pénètrent la forme d’Etat et l’organisation étatique également.

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